ARTICLES DE PRESSE DE HERNÁN GAZMURI

1. « BOURSE TORTUEUSE » 1973

2. « DE LA BAGARRE AUX BEAUX ARTS » 1935

La fille cadette du peintre Hernán Gazmuri fait un commentaire des points les plus marquants des mensonges divulgués sur Internet par les Sites chiliens et pour ce fait elle donne au monde les preuves des dits mensonges, établis par la propre main du peintre Gazmuri qui de son vivant a du se défendre dans la presse chilienne pour restituer son honneur bafoué et outragé par cette officialité chilienne qui continue à présent « post-mortem » à lui infliger un opprobre criminel. 

Cet article que vous lirez ici écrit par le peintre, répond à l'infamante déclaration des sites Internet chiliens qui affirment que le peintre Hernán Gazmuri fut « boursier » du gouvernement chilien de l'époque. Il s'est défendu sa vie durant de ces mensonges dans la presse. La valeur de cet article est double, car, d'une part, il efface définitivement ce mensonge et, d'autre part, se charge par la même occasion d'effacer l'autre infamie qui l'a toujours persécuté : celle de la fausse appartenance au « Groupe Montparnasse ». Lisez attentivement les parties renforcées en noir, vous y trouverez la preuve écrite par la propre main du peintre : « Le « Groupe Montparnasse » s'est attribué des bourses pour venir en Europe » Gazmuri dénonce leur manque de qualification professionnelle et artistique ainsi que leur incapacité à poursuivre le rude enseignement de Lhote. Gazmuri déclare n'avoir aucun lien avec le « Groupe Montparnasse ». Gazmuri n'a rien à voir avec cette délégation qu'il qualifie de « touristique et officielle ». Il nous dit combien leur ignorance était flagrante, et ils se sont repartis des bourses et des postes dès leur retour au Chili, aucun d'entre eux fut « victime » des reformes universitaires, comme veut le faire croire J.P.M., seul Gazmuri fut, selon ses propres mots, dans l'article : « Exclu, rabaissé, et dépourvu de ma Chaire, privé de toute possibilité d'épanouissement »»

Pourquoi Gazmuri est exclu, rabaissé, dépourvu de sa Chaire et privé de toute possibilité d'épanouissement » ? Il nous dit : « il faudrait chercher les causes d'une telle aversion ». Cette aversion mortifère et gratuite contre lui.il nous la fait savoir par intermédiaire des citations des auteurs qu'il aimait, il cite Ortega y Gasset el sa théorie de l'Empire des « masses », et aussi le savant Freud et sa science des complexes, inconfessables, relégués au sous-sol de la conscience. Il déclare avoir fait un voyage  « Hors Série » avec ses propres et faibles économies. Paris fut le plus affecté dans l'attribution des bourses et c'est ce « Groupe Montparnasse » celui qui s'est vu atterré par le rude enseignement de Lhote et le vertige de la ville au point qu'ils ont demandé le retour précipité de la Seine au Mapocho (fleuve infecté et pollué de Santiago !)

Traduction du Journal Chilien « Las Ultimas Noticias » du jeudi 12 Avril 1973

«Discussions»

 

BOURSE TORTUEUSE

On a célébré au mois de septembre dernier à Buenos Aires, l'exposition nommée « 150 années de peinture chilienne », organisée par le Musée des Beaux Arts de Santiago que dirige Monsieur Nemesio Antúnez.

Dans les notes biographiques du catalogue, je lis avec surprise la référence suivante concernant le susdit : «  Hernán Gazmuri, bousier du gouvernement chilien », s'est perfectionné à Paris dans l'atelier de Lhote.etc.

Ceci est tout sauf une erreur , parce que c'est moi-même qui ai fait part à Monsieur Antúnez, personnellement, des références biographiques qu'il m'a demandées. Je les lui ai données par deux fois, puisque la première fois, il a dit les avoir perdues. Mauvais présage. Symptomatique.

Je n'ai été aucunement boursier du gouvernement. Je n'ai jamais reçu aucune sorte d'aide officielle ou autre.

Bien au contraire, j'ai été exclu, mis à l'écart, rabaissé, et en plus dépourvu de ma chaire (1934), et privé de toute possibilité d'épanouissement.

Je n'ai pas su plaire aux équipes officielles qui détiennent le pouvoir. Les raisons d'une telle aversion en serait intéressantes à découvrir.

Ceci dit les équipes officielles possèdent leur propre psychologie. Ortega a écrit un rude ouvrage sur l'empire des masses. Du point de vue psychologique, le savant Freud créa la science de ce que l'on appelle complexes, expressions du sous-sol, l'inconfessable, le pathologique. Monsieur Antunez a la prétention de m'offrir l'uniforme de son équipe. Il sait combien coûte cette tunique qu'il m'offre comme la pire des expiations quelque chose du ressort de la tunique de Neso(de sot je suis sur le point d'écrire)

*(Necio est sot en espagnol, jeu de mots)

Je devrais finir ici ces lignes, pour ne pas abuser de votre attention. Mais une brève extension, un bref récit en faveur de l'archéologie et de la clarté seraient indispensables. Ce sont des chroniques infimes, miscellanées  oubliées, avec la patine d'un demi siècle, que Monsieur Antunez ne doit pas méconnaître, en dépit de l'éphèbe qu'il paraît encline à représenter.

Il s'agit de la première expropriation, précurseur de celles qu'aujourd'hui pratiquent les filiales surgies avec les brosses et les pots de peinture de murs.

Il est nécessaire de remonter à 1928, l'exhumation.

*L'Académie des Beaux-Arts fut close et le budget global de l'enseignement transformé en bourses. Sans qualification d'aucune espèce, elles furent reparties gentiment entre alliés, pour peu après s'auto destiner, de manière stratégique, dans diverses villes européennes, avec le rang de sultans ou de ducs dans ses duchés respectifs. Paris fut le plus affecté.

La fantaisie épuisée retourne à la réalité de manière troublante.

*Il y a eu quelques graciés qui, mystérieusement atterrés, ont demandé leur billet de retour, le retour précipité de la Seine au Mapocho. La répartition fut si prodigue qu'elle s'est surpassée.

*N. de l'écrivain.

Ce fut un « cas de conscience », qui a du être imité, mais comme le cadeau était entièrement optatif, le reste décida de rester et de se sacrifier au rigoureux régime d'étude.

Un acte catalyseur.

Or le destin, pour sa part, a sa propre sournoiserie, bien connue. Il a voulu que peu auparavant, le soussigné, étant encore un jeune homme en 1928, ait entrepris un voyage d'étude, avec ses propres et faibles ressources financières.

Un voyage hors série.

Je suis resté quelques années dans l'Atelier d'André Lhote, à Paris. Je n'ai rien en commun avec la délégation graciée, délégation touristique officielle.

Je remercie de toute façon Monsieur Antúnez pour la bourse gouvernementale qu'il m'assigne dans les notes biographiques falsifiées. J'aimerais bien l'utiliser vraiment pour essayer de revivre l'authentique et lointaine biographie, celle qui est intime, profonde, comme celle de tant d'autres, attachés et confondus au vertige de la ville.

L'Atelier de Lhote est maintenant différent. Du maître disparu reste le souvenir noble et la résonance vive et croissante chez les générations qui se sont rendues là-bas, rue d'Odessa non pour « se perfectionner », comme dit l'affirmation snobe de Monsieur Antunez, mais pour prendre conscience et avoir la révélation de la Peinture et des principes de l'art moderne.

Enfin, le même Catalogue de l'Exposition de Buenos Aires reproduit une de mes toiles, geste que je remercie également; les jugements aimables de la critique dans les diverses publications.

Je renouvelle mes remerciements pour cette amabilité.

Hernán Gazmuri Díaz.

Deuxième Article de Hernán Gazmuri 1934

Dans cet article écrit par le peintre Hernán Gazmuri, il vous donne l'explication en détail de la véritable raison de la « DESTITUTION DE SON POSTE DE DIRECTEUR et de PROFESSEUR DE L'ECOLE DE BEAUX ARTS DE SANTIAGO EN 1934 et il nous permet de mettre définitivement fin les infamies écrites par les sites Chiliens, le Musée de Beaux Arts, le Mac, Rubila Araya et tout particulièrement le site de Justo Pastor Mellado qui dans une quantité de pages, un véritable fleuve de mensonges, exploite une saga de l'histoire chilienne depuis le début du siècle jusqu'à les années 36 afin de justifier l'infamie qui a commis le Chili à l'encontre du peintre Hernán Gazmuri, à savoir, la destitution de son poste de Directeur et Professeur de l'Ecole de Beaux Arts, selon lui « victime de la reforme universitaire « « universitarización »

Il ne dit certainement pas que c'est précisément cette reforme qui s'est mise en place pour le laisser à la rue seulement à Hernán Gazmuri ceci le dit le peintre Gazmuri dans cet article que je vous demande de lire attentivement, il est une preuve historique de premier ordre à prendre avec toute la considération qu'elle mérite si l'on veut rendre justice au peintre et à l'histoire, c'est à dire aux faits réels tels qu'il se sont produits et non de la fabulation orchestré d'une personne sans aucun savoir faire ni savoir vivre.

Voici les Sites chiliens infamants

1. Le site du Musée de Beaux Arts

http://www.artistasplasticoschilenos.cl

du 11/02/2006

Dans sa Biographie sur Hernán Gazmuri ils portent atteinte aux Droits Moraux du peintre inscrivant les infamies suivantes :

Je les cite : 

Infamies d'ordre psychologique

« Son caractère difficile et sa forte personnalité lui ont fait subir des problèmes et dures critiques dans son travail et dans la relation avec ses collègues et la presse de l'époque »

« Finalement en 1934 il renonça à l'Ecole de Beaux Arts par la suite des attaques qu'il a du subir pour prétendre imposer le cubisme à ses élèves [.] »

« En 1941 fut Professeur d'Université dans l'Institut Pédagogique Technique, fondé la même année, cependant l'artiste n'a pas pu éviter l'isolement produit par sa personnalité compliqué . C'est ainsi qu'il cessa d'exposer et de participer dans la vie publique. Pour survivre il s'est vu obligé à travailler comme traducteur et illustrateur de revues de mode »

Le site du Musée de Beaux Arts ainsi que ceux de Justo Pastor Mellado arrivent à affirmer, avec une insolence dévergondée, les mensonges suivants:

1. Décrivent les traits de son caractère et son portrait

psychologique, les faussant de manière ignoble et mensongère.

2. Exposent des fausses raisons de la destitution de son poste de

Directeur et Professeur à l'Ecole de Beaux Arts.

3. Mentent indignement quand ils mentionnent les activités qu'il doit développer dès qu'il est dépourvu de sa Chaire à l'Ecole des Beaux-Arts en 1934.

4. L'omission prémédité pour ce qui est de l'ouvre qu'il fut appelé à réaliser en 1942 et non en 1941.

Il fut le Fondateur de l'Université Technique d'Etat( U.T.E.) appelée aujourd'hui « Université de Santiago » Professeur d'Université, détenteur des Chaires de Dessin, Peinture et Histoire de l'Art depuis sa fondation en 1942 jusqu'à 1972 date de son départ en retraite.

Directeur du Département d'Art Plastique , réelu à l'unanimité entre 1942 et 1972.

Voici la véritable biographie du peintre Hernán Gazmuri :

Portrait psychologique.

1. Il était un homme doué d'une virilité et d'une force de caractère propres à un homme véritable et au même temps doué d'une générosité sans limite pour ce qui était de son enseignement ainsi que dans la vie, il possédait un caractère d'une douceur et d'une tendresse hors pair.

*Ses élèves l'aimaient et lui ont donnés des preuves d'une adhésion forte et inébranlable, à l'Ecole de Beaux Arts en 1934.

*Il fut de même pour ses élèves de L'Université Technique d'Etat, (L'Institut Pédagogique)

Il avait un désir de perfection dans sa vie qu'il savait transmettre, il avait assumé depuis ses treize ans la charge de son foyer, âge où il devint orphelin et commença à travailler chez un notaire pour subvenir aux besoins de sa famille.

Sa vie toute entière fut un exemple de droiture, sévérité, austérité et générosité envers quiconque lui demandait de l'aide.

Les preuves ?

Les voici :

Je vous invite à regarder les preuves que je montre dans mon livre

« Le Peintre Hernán Gazmuri, l'Héroïsme du peintre Victime d'une Infamie »

1. Vous y trouverez une photo d'un Diplôme offert par ses collègues et ses élèves de l'Université  Technique d'Etat dont il fut LE FONDATEUR en 1942 avec les fonctions suivantes : Professeur d'Université, chargé des chaires de Dessin, Peinture et Composition et Directeur du Département d'Arts Plastiques, réélu à l'unanimité entre les années 1942 et 1972 date de son départ en retraite.

2. Vous y trouverez également la photo d'une lettre écrite par une de ses élèves dont elle lui demande de l'appeler et de l'aider à résoudre ses problèmes administratifs au sein de l'Université.

3. Un article du critique d'Art Victor Carvacho dont il dénonce dans la presse chilienne, et il fut le seul à le faire, que Gazmuri fut victime de la jalousie et que c'est précisément là qu'il faut chercher la raison de leurs haines et de leur sadisme contre lui !

4. Il ne voulait pas que l'on en parle publiquement mais sa veuve, ma mère m'autorise aujourd'hui à révéler le secret, afin d'en finir avec tant d'infamie qui porte atteinte à sa mémoire, je dis dans mon livre comment il a compté aider un réfugié de la Shoah , il s'agit du Docteur Goldsmith qui devint un ami du couple Gazmuri- Guttmann.

Hernán Gazmuri, l'héberge et lui offre quelque chose qui est plus fort que l'aide matérielle pour commencer à revivre : la formation intellectuelle dans le domaine de la peinture.

Gazmuri voulut l'aider à s'intégrer au Chili à son arrivée, Goldsmith n'avait pas les moyens de travailler et Gazmuri remarqua chez lui une vaste culture et du talent pour juger les choses d l'art.

Lui donne une formation et par la suite le Docteur Goldsmith est devenu un des plus talentueux critiques d'art, c'est lui qui peux après à l'occasion des expositions de Gazmuri, depuis de sa tribune dans les journaux parle de « son maître » et ami.

5. Que disent ses élèves de lui ?

« Le professeur Gazmuri est un exemple de haute efficacité pédagogique, droiture et enthousiasme artistique » (voir l'article)

Les exemples sont nombreux pour dire combien la véritable biographie, le véritable portrait de Hernán Gazmuri est éloigné de ce portrait de paille, ignominieux et mensongère qui jettent au monde dans l'air virtuel ses menteurs professionnels et que jusqu'à présent restent encore impunis .

2. La véritable raison de la destitution de son poste fut non celle qui expose en 12 pages J.P.Mellado mais celle qui expose en détail Hernán Gazmuri lui-même dans son article de presse que je vous invite à lire attentivement, et je ne peux pas en douter que toi lecteur, tu sauras saisir la vérité qui se dégage de chaque phrase, de chaque mot, dans tout le discours qui sort de Gazmuri, il l'a écrit parce que obligé à se défendre des attaques publiés dans la presse, peu après d'avoir été destitué de son poste en 1934, il venait de se marier, il fut jeté à la rue.

Il fut privé de son poste de Directeur de l'Ecole de Beaux Arts et de Professeur des Chaires de Dessin, Peinture et Composition par JALOUSIE car les élèves désertaient les cours des autres professeurs pour s'inscrire aux cours de Gazmuri !

Le Site de J.P. Mellado et le site du Musée de Beaux Arts mentent tous les deux quand ils disent que Gazmuri s'est vu obligé à «ABANDONNER»   son poste de Professeur à l'Ecole de Beaux Arts pour avoir été accusé de prétendre imposer le cubisme à ses élèves.

Pastor Mellado ment quand il affirme sur son site que Gazmuri s'éloigne du circuit, réalisant « des activités diverses » portant sur soi l'stigmate d'avoir été sacrifié par la reforme universitaire , il ajoute qu'il n'expose presque pas et qu'il reste en dehors de la représentation académique et d'un support institutionnel de l'enseignement, il continue à mentir au monde par via Internet quand il affirme qu'il continue à exercer l'enseignement dans des divers instituts Techniques jusqu'à sa retraite.

Tout ce qui affirme Mellado est FAUX !

Comme il est aussi FAUX quand J.P. Mellado affirme que » le peintre Gazmuri n'avait pas cessé de se tenir au courant des vicissitudes de la politique et de la situation administratives des l'Université pendant son séjour à Paris ».

Ceci est un mensonge, car Gazmuri avait OUBLIE le Chili car il ne pensait aucunement y retourner et en plus ce mensonge est criminel, car dégage une intention que Gazmuri n'avait aucunement, celle de recherche d'une prise du pouvoir.

Les multiples reformes universitaires mises en place n'apportèrent aucun préjudice aux professeurs de la faculté seul Gazmuri fut exclu, il le dit lui-même dans son article » De la Bagarre aux Beaux Arts. »

Gazmuri n'abandonne pas son poste non seulement de Professeur de l'Ecole de Beaux Arts, mais de Directeur de la dite Ecole . Il fut dépourvu de son poste par jalousie et non par la « reforme universitaire «  qui donne comme excuse Mellado

Je le répète, c'est Hernán Gazmuri lui-même qui le dit et l'explique sans répit dans tous ses articles de presse.

3. Le Site du Musée de Beaux Arts ment quand il affirme que Gazmuri pour survivre s'est vu obligé à développer diverses activités entre autres celle de traducteur et d'illustrateur de revues de mode.

Mellado affirme de son coté que Gazmuri pour survivre « collabore » dans divers instituts techniques.

Les deux Sites mentent.

Une fois destitué de son poste Gazmuri travaille comme fonctionnaire attaché à la Caisse d'Employés Municipaux (poste adjoint au Notaire) et à la Caisse d'Employés Publiques et Journalistes, aussi sur des postes attachés aux Notaires.

*Je vous offre les preuves dans mon livre, les Certificats des années de services travaillés mettront fin pour toujours à ces mensonges.

*Gazmuri n'a jamais travaillé comme illustrateur ni comme traducteur des revues de mode !

Il a travaillé pour la Maison d'Edition « Zig-Zag » de l'époque pour y faire quelques couvertures de livres de littérature , j'en donne la preuve dans mon livre ainsi que très rares traductions il n'avait pas le temps pur cela. Il l'a fait à titre tout à fait exceptionnel.

*Il faut absolument se reporter au C.V. manuscrit, écrit de la main propre du peintre pour établir la vérité.

4. Pour en finir, Mellado ment quand il affirme qu'il a « collaboré »

Dans divers Instituts Techniques, Il omet avec préméditation que Gazmuri a été le Fondateur d'une des Universités les plus importantes , l'Université Technique d'Etat, Gazmuri la fonda en 1942, je vous demande instamment de lire son C.V. manuscrit qui fait foi où il le signale de sa main propre.

Il fut le fondateur de la dite Université et détenteur des Chaires de Dessin , Peinture et Histoire de l'Art et Directeur du Département des Arts Plastiques , réélu à l'unanimité entre 1942 et 1972, date de son départ en retraite.

Je vous laisse juge de cette infamie que je compte effacer définitivement par tous le moyens dont je dispose pour restituer l'honneur au peintre Hernán Gazmuri.

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Deuxième article de Gazmuri.

De cet article il faut retenir l'essentiel :

1. Hernán Gazmuri étale les 5 mesures qu'il met en place pour remédier les injustices régnantes au sein de la Faculté de l'Ecole de Beaux Arts.

Cette action fut que l'on appelle  : « Elément perturbateur »

Gazmuri dit « Tant de perturbation ne pouvait pas continuer »

Son action pour le bien de la Faculté de Beaux Arts touche le plan budgétaire, administratif, ainsi que le strictement pédagogique.

Dénonce l'inflation au sein de la Faculté , la bureaucratie, demande un budget spécial pour favoriser l'achat de matériel de peinture à bas prix pour les étudiants, etc., etc.

A ceci se rajoute l'adhésion de ses élèves qui

1. dénoncent l'échec foudroyant des autres professeurs (Groupe Montparnasse »)

2.Désertent les autres cours et

3. Demandent au Recteur d'étendre les chaires de Dessin existante déjà aux Chaires de Peinture et Composition, les pétitions sont perdues, elles sont à nouveau représentées personnellement au Recteur, finalement quand le Recteur acquiesce, une nouvelle reforme universitaire est décrétée, mais pour destituer du poste à un seul professeur  : Gazmuri, oui, il fut victime, mais non comme le dit de manière mensongère J.P.M. mais comme l'affirme dans son article Gazmuri lui même, « je fus le seul a être dépourvu de mon poste , les autres professeurs restèrent dans leurs postes et cet opprobre fut connu de tout le monde et ils sont répudiés par ses élèves et par le public tout entier.»

Hernán Gazmuri gagne le poste de Directeur et professeur a l'Ecole de Beaux Arts parce qu'il fut reçu au concours de manière brillante !

Et il se produit une fraude pendant l'examen qui était arrangé d'avance !

GAZMURI DENONCE DANS LA PRESSE LA FRAUDE LA PLUS HONTEUSE DE TOUS LES ANNALES DE L'UNIVERSITE ;

« Les candidats arrivèrent le jour de l'épreuve avec des livres sous le bras et s'y installèrent confortablement pour COPIER ! »

De ceci Ni J.P. M . ni les autres sites ne disent RIEN bien entendu.

La véritable histoire honteuse de Chili reste silencieuse, maintenant on change l'histoire pour continuer l'infamie et l'attaque contre mémoire du peintre « post-mortem »

Gazmuri fut nommé Directeur de l'Ecole de Beaux Arts et peu après dépourvu de son poste qu'il avait obtenu pour avoir été reçu de manière brillante au concours, ce concours fut la honte de tous les annales de l'Université car les candidats arrivèrent avec des livres sous les bras pour s'installer confortablement pour copier !

*Gazmuri dénonce cette fraude dans la presse, lisez attentivement son article !

Il fut le seul à être reçu avec la note la plus haute, il demande également que l'on publie ses copies ! Les sujets de l'épreuve sont : Renaissance, Impressionnisme, et Cubisme.

 

F.K.Net