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Lettres ouvertes de Florence Gazmuri Guttmann

 

LE PEINTRE HERNÁN GAZMURI appartient esthétiquement à "l'École de Paris".

 

AVERTISSEMENT

Vous trouverez des sites chiliens où ce peintre est placé esthétiquement dans un groupe où il ne partage aucun lien. Les raisons de cette affiliation forcée a été programmée et ne s'expliquent que par la bassesse d'esprit qui portent en eux ces auteurs. Le contenu de sa biographie, les arguments qu'ils développent et les détails qu'ils exposent sont hautement diffamatoires, injurieux, mensongers et portent atteinte à sa mémoire.

" J'Accuse" de mensonge les responsables des écrits hautement diffamatoires concernant le peintre Hernán Gazmuri et divulgués dans les sites exposés dans le Web mondial. Les sites chiliens concernés sont les suivants :

  1. Le M.A.C. Musée d'Art Contemporain du Chili.
  2. El Museo de Bellas Artes.
  3. Site del Señor écrivain Justo Pastor Mellado.
  4. Site de la Señora Rúbila Araya.

Les soussignées, créateurs de ce site (la veuve du peintre et sa fille cadette) mettent en garde dès à présent, tout nouveau site qui continue à profaner la mémoire du peintre avec l'insistance mensongère, sur sa biographie et sur son ouvre, soit sur de nouveaux sites qui seraient la suite du contenu diffamatoire des sites déjà signalés, ou dans d'autres formes d'information.)

Le contenu diffamatoire concerne des points sur sa biographie et sur son ouvre. Nous donnerons seulement les grands axes de cette diffamation, le détail sera exposé autrement et par d'autres moyens.

Mensonge N°1.

Mensonge concernant sa filiation esthétique.

Tous les sites chiliens situent le peintre Hernán Gazmuri comme appartenant au « Groupe Montparnasse » Ceci est FAUX. De son vivant le peintre Gazmuri a du se défendre dans la presse chilienne contre cette liaison forcée dans laquelle l'officialité chilienne se plaisait à l'inclure abusivement. Ces individus, qui jadis ont commis des canailleries de manière permanente et soutenue contre Gazmuri, sont remplacés à présent par les auteurs des sites Internet. Ils continuent à présent la besogne de la haine, dans un acte honteux que nous dénonçons comme injurieux et sacrilège, car il s'agit des injures « Post-Mortem ». Exposées dans le Web mondial et les Encyclopédies.

Jadis, « Ils » trouvaient toujours une place de privilège offerte par l'officialité chilienne pour verser son sadisme contre Hernán Gazmuri. (Voir lignes de l'article de Víctor Carvacho) Hernán Gazmuri a souffert cet opprobre entre 1934 et 1975. (Dès son retour forcé de Paris)

Vous doutez encore ? Lisez ces quelques lignes des articles de Hernán Gazmuri, lisez les attentivement. Lisez les lignes du critique chilien Victor Carvacho, il dénonce le sadisme opéré contre Gazmuri, il se porte témoin dans la presse. Les auteurs des dits "sites" se sont bien gardés de faire sortir ces témoignages de premier ordre, parce que des documents précieux, signés par le peintre et les rares défenseurs qui, de son vivant, ont osé rester fidèles à son parcours artistique.

Les articles qui disent la vérité sont ceux du peintre Hernán Gazmuri lui-même, de Víctor Carvacho, et du Docteur Goldsmith (critiques d'art). Je cite le critique d'Art Victor Carvacho : "Nous dirons seulement que des valeurs comme Hernán Gazmuri, un de peintres le plus importants de sa génération vivait à cette époque là-bas en Europe. Il a pu contempler l'existence des favorisés avec des bourses. Lui, entre temps ruminait la famine, les besoins les plus urgents et la dénutrition celle qui l'emmena presque au cimetière. C'est là qu'il faut voir l'incubation de leurs haines, de leurs ressentiments, de leur sadisme injurieux." (Victor Carvacho Herrera).

Ces chiliens exposent dans leurs sites le développement d'un mensonge qui date de presqu'un siècle. Et ils se veulent des critiques d'art sérieux et fidèles à la vérité historique ! Vous trouverez dans notre site l'explication détaillée de ces mensonges. Nos rendrons l'honneur au peintre. Nous vous offrirons, preuve à l'appui, des articles de presse signés par le peintre lui-même, dont il refusait fermement cette odieuse inclusion dans un groupe des peintres qualifiés par lui-même comme des peintres les plus médiocres et ignorants, ce "Groupe Montparnasse". Comment est-il possible que, dans le genre "humain" se produisent de tels abus et que l'on continue une persécution "post-mortem" ?

Ce site n'est qu'un début, il est en construction, et sera complété avec plus d'informations. Nous vous invitons à entrer dans la "salle de Rayons X", vous verrez la grandeur de l'ignominie, et le cheminement qui a pris la persécution et comment elle a eu une macabre métamorphose, car les générations qui persécutaient Gazmuri ont presque toutes disparues, mais elles ont semé leur héritage du Mal en terrain paludéen, vous le constaterez dans le Web mondial.

Gazmuri n'appartient aucunement au "Groupe Montparnasse". Ce groupe est formé par des peintres chiliens boursiers du gouvernement chilien de l'époque, -1928- Hernán Gazmuri par une question du hasard voyage seul à Paris par ses propres et faibles moyens, (ses économies du travail chez une notaire) à la même date ou ce groupe boursier, et qualifié par Gazmuri de « touristique » est venu à Paris et aussitôt arrivés, ils demandent le retour de la Seine au Mapocho, effrayés de la grandeur de Paris et de leur incapacité à assimiler l'enseignement de premier ordre de la rue d'Odessa. Lisons cette citation celle-ci concerne un article d'Hernán Gazmuri intitulé : "Hernan Gazmuri opine sur l'exposition du "Groupe "Montparnasse", publié dans le journal chilien "La Tarde" le lundi 6 août 1945. Voici quelques lignes, je le cite (Gazmuri parle du dit groupe) :

"L'étudiant masse", comme les "peintre masse" chiliens de ce quart de siècle, est à la fin le résultat le plus flagrant que l'on connaisse des bouffons de l'histoire Les uns, (les étudiants) faisant d'arbitres des ballons, (ils sont joueurs de football) les autres (les peintres) répartissant de coups de pinceaux remplis de beurre. Celle-ci est une peinture bien rentable, administré par l'auteur de " El Entierro del Pajarito" apparaît comme un fruit suspect à l'irruption montparnassienne et un abondant cortège de "peintres modernes" ( le dit Groupe Montparnasse) qui obtiennent des prix, bourses, pensions touristiques, médailles et des espèces en qualité de récompenses que la famille régnante leur accorde. Les meilleures des mystifications entre les artistes du sexe le plus douteux. Il n'a même pas manqué la consécration suprême d'un prix National de Peinture, octroyé aussi en catégorie d'ambiguïté quelque peu diverse, il paraît dédié en réalité à la production lactée, plutôt qu'à la peinture. Malheureusement nous savons comment le Groupe Montparnasse a pu s'attribuer un bon nombre d'apostats. C'est avec eux que l'on engrossa la beauté mercenaire de l'officialité d'aujourd'hui, et elle est entrée à la circulation ce type de pseudo artiste, ["artistoide" en espagnol dans l'article] prostitué, et supra-réactionnaire, dont les signatures se sont vouées de manière précipitée et soudaine au conjure métallique d'un véritable "dessous de table", des manifestes révolutionnaires de la première heure". (Hernán Gazmuri).

Après avoir lu l'analyse critique que Hernán Gazmuri nous offre dans cet article est-il pensable que l'on accepte l'inclusion diffamatoire de Hernán Gazmuri dans un groupe de peintres qualifiés par Gazmuri lui-même comme des ignorants, médiocres, qui peignaient à "coups de pinceaux au beurre" et qui appartenaient plutôt a la "production lactée" (peinture défaite, "Nestlé"), à la fin nommés par Gazmuri comme de prostitués qui ont jouit des prix, de "dessous de table" protégés par l'officialité chilienne ? Ceci n'est autre chose qu'une machination grotesque et macabre.

Mensonge N°2.

Hernán Gazmuri n'a été jamais BOURSIER de l'Etat chilien !Lisez les quelques lignes que nous vous offrons ici, nous ajoutons la copie de l'article de presse où Gazmuri expose en détail sa défense point par point. On lui perd ses dossiers biographiques, on l'oblige à les présenter a nouveau, et cette usure est permanente. Regardez, c'était en 1975 ! 4 ans avant sa mort et il devait encore se défendre de cette odieuse officialité chilienne, ces éternelles mafias lâches qui méconnaissent les règles élémentaires du genre humain et que l'on doit ranger selon leur comportement contre Gazmuri, parmi les "homo-sapiens" qui n'ont pas évolué et restent dans la catégorie que classifie si bien George Steiner avec un concept grec, quand il dénonce les écarts d'adhésion à la Culture, la barbarie de notre époque. Steiner fait appel à un concept grec : L'APADEUSIA ce qui veut dire "l'indécence de l'esprit". Connaissent-ils, ces chiliens créateurs des sites Internet l'héritage grec dont nous héritons le code de tempérance, de finesse d'esprit et de décence ?

Mensonge N°3.

Hernán Gazmuri n'a jamais travaillé chez les éditeurs de revues de mode ! Ce mensonge est aussi odieux que les autres, ils l'écrivent pour l'abaisser. Lisez son C.V. écrit de sa main propre.

Mensonge N°4.

Gazmuri n'a pas renoncé à son poste de Directeur de l'Ecole de Beaux arts, on l'a dépossédé de son poste abusivement. Lisez ce qu'il écrit, je le cite : "L'article s'intitule ; "Bourse Tortueuse" paru dans le Journal chilien "Las Ultimas Noticias" daté du jeudi 12 avril 1973. "Dans les notes biographiques du catalogue, je lis avec surprise la référence suivante concernant le susdit ; "Hernán Gazmuri boursier du gouvernement chilien, s'est perfectionné à Paris dans l'Atelier d'André Lhote » Ceci est tout sauf une erreur." [.] "Je n'ai été aucunement boursier du gouvernement. Je n'ai jamais reçu aucune sorte d'aide officielle ou autre. Bien au contraire, j'ai été exclu, mis à l'écart, rabaissé, et en plus dépourvu de ma chaire (1934), et privé de toute possibilité d'épanouissement. [.]"

Mensonge N°5.

Gazmuri n'a pas "collaboré" dans divers Instituts comme l'affirme Justo Pastor Mellado ! Hernán Gazmuri A ETE LE FONDATEUR (avec deux autres compagnons de route intellectuelle) D'UNE UNIVERSITÉ CHILIENNE APPELLÉE UNIVERSITÉ TECHNIQUE D'ÉTAT. "Instituto pedagógico Técnico") Et Depuis la date de fondation de la dite Université en 1942, jusqu'à sa retraite prise en 1972, Hernán Gazmuri a été réélu à l'unanimité à son poste de Directeur du Département d'Art Plastiques, étant aussi chargé pendant 40 ans des chaires de Dessin, de Peinture et d'Histoire de l'Art.

Nous sommes en possession des documents officiels qui le prouvent et dont le monde entier pourra prendre connaissance très prochainement. Sachez qu'il y a un abîme entre la distance conceptuelle du mensonge de Justo Pastor Mellado, (partagé aussi par les autres auteurs des sites) et la vérité de Gazmuri. Cet abîme s'établi quand il dit que Gazmuri a "collaboré dans divers instituts". Justo Pastor Mellado minimise, ment, et tord la vérité en rustre mensonge diffamatoire, car entre "collaborer" et être le père fondateur d'une Université et y professer un enseignement de premier ordre pendant 40 années, il y a un écart mensonger programmé et sinistre. Quand ce discours se prononce publiquement, concernant la vie d'un être disparu et de notoriété publique, il doit se ranger parmi la violation de la loi et cette violation, cet outrage post-mortem, doit être puni de manière exemplaire.

Je suggère une punition qui fasse jurisprudence de manière aussi mondiale que le site web mensonger dont le dit Monsieur en est l'auteur. Ce qui restera, c'est la parole du peintre, le rayonnement de son esprit créateur et le langage silencieux et monumental de son ouvre picturale. Après le discours de" la salle des Rayons X" je vous invite à visiter sa galerie virtuelle, ses croquis, dessins et peintures.

*A la fin vous trouverez une galerie virtuelle de la fille cadette, disciple du peintre Hernán Gazmuri, ayant étudié depuis 1969 à 1979 dans son Atelier Libre crée à la manière de Lhote. Elle y montre quelques uns de ses travaux suivant le désir de son Maître, Hernán Gazmuri, à qui elle fit la promesse de prendre "la relève" tel qu'il lui a demandé avant sa mort.

©copyright - Clara Guttmann-Cherniak - Nadezhda Gazmuri-Cherniak Paris 2005

 

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