Celle ci est ma réponse au journal chilien La Tercera qui se permet de publier les dires mensongers et infamants d’une dame qui ose dire que ma mère, Clara Guttmann-Cherniak, veuve du peintre Gazmuri ne peut avoir entamé la procédure contre les musées chiliens parce atteinte de la maladie d’Alzheimer.
Cette dame qui se permet de mentir publiquement fait preuve devant le monde d’être atteinte d’ « Apadeusia », (Je cite George Steiner) terme grec qui veut dire « indécence de l’esprit »
Je me présente, qui vous écrit est la fille cadette du peintre Gazmuri, Yaël Florence Gazmuri-Guttmann, artiste peintre, professeur d’espagnol et poète.
Cette fois ci je n’écris pas pour défendre la mémoire de mon père des diffamations, mais pour mettre au clair la vérité et dénoncer ce grandiose mensonge écrit et publié dans ce journal à propos de la sortie d’un livre sur le peintre, un autre aussi mensonger que les sites et les dires chiliens.
La personne qui ose mentir et salir l’image de ma mère le fait dans le journal La Tercera et la date de la publication est le 28 avril 2009.
Ce genre de personnes est nombreux ici et là, il deviendrait inutile d’essayer de les empêcher cette sale besogne, la médiocrité est propre à ce bas monde.
Sur le livre et tous les autres qui partagent ce même style je ne me prononce pas, j’ai déjà tout dit et mis ai clair sur la vie et la vérité artistique du peintre Gazmuri dans mon livre : « Hernan Gazmuri, l’héroïsme du peintre victime d’une infamie ».
Je ne reviendrai plus sur ce sujet, ceux qui s’intéressent à connaître la vérité que le lisent. Mon livre est riche en documents qui font foi de vérité sur la véritable histoire du peintre Gazmuri et l’étalage historique des éternelles infamies celles qui continuent à se répéter dans ce pays.
Afin de laisser à la portée de quiconque veuille en prendre connaissance et que se sache de par tout ce pays, j’accuse de mensonge la personne qui ment dans le journal et par la même occasion j’affirme ceci : il y a des années que ma mère et moi-même nous sommes décidées à mener une action en justice devant le Tribunal de Grande Instance de Paris à l’encontre des personnes responsables de l’achat frauduleux des toutes toiles de mon père. Cette procédure est commencée il y a bien d’années déjà…
C’est FAUX que ma mère ne s’est fait pas responsable de cette procédure et il est faux qu’elle soit atteinte de la maladie d’Alzheimer au moment de signer et de les dénoncer devant les Tribunal.
Selon les dires de cette personne ma mère ne serait pas responsable de l’action en justice !
Ma mère ne souffre pas de la maladie d’Alzheimer. Ceci est catégorique.
Elle est à présent une adorable petite vieille de 94 ans et je vous demande instamment de la respecter tant à elle comme à la véracité de notre histoire.
Cette procédure nous l’avons entamé ensemble.
Elle a imposé ses conditions préalables et tant notre avocat comme moi-même nous les avons respectées.
Cela veut dire que nous avons exempté de culpabilité dans l’affaire, le vendeur de l’œuvre picturale du peintre Gazmuri, car nous estimons que le véritable coupable n’est pas celui qui offre la vente, mais celui qui achète, puisque l’acheteur est ni plus ni moins que l’Etat chilien, représenté par des musées nationaux et non un innocent et vulgaire ignorant des lois internationales concernant les œuvres d’art !
Je veux dire que quand l’on achète des œuvres de cette importance plastique étant l’Etat l’acheteur, il était dans le devoir moral, étique et commercial de demander l’autorisation écrite de la veuve et de l’autre fille de Gazmuri, parties aussi concernées dans sa totalité aux droit légaux sur l’œuvre de leur mari et père : ceci les musées chiliens l’on délibérément ignoré en pensant peut-être que la France est trop loin de ce minuscule pays ?
Je mets au clair par la même occasion que cette procédure n’a pas la moindre composante propre aux poursuites d’ordre familial et il n’est aucunement un litige d’héritage.
Nous ne sommes pas en train de nous disputer les toiles de mon père, il y a un testament écrit de la main du peintre, celui-ci fut violé, trahit, de manière ignominieuse.
Ici il n’y a pas de poursuites familiales de basse espèce comme ils veulent le faire croire au Chili.
Désistez d’une fois pour toutes à tant d’indécence.
Ceux ou celles qui écrivent ces ignominies dans ce journal et aussi chez d’autres journaux chiliens n’ont pas d’autre intention que de salir publiquement la figure de ma mère et il paraît qu’ils ne cherchent qu’une notoriété jamais conquise du vivant de mon père quand ils n’étaient qu’élèves effacés de la dernière promotion quand il était Professeur à l’Université de Santiago, à l’ « Institut Pédagogique » fondé par lui-même dans les années 40.
C’est maintenant, Post Mortem que l’on essaie de récupérer une place
d‘ambiguë notoriété, maintenant que mon père ne peut faire foi de leur incompétence, et de dire qu’ils ne furent que des élèves médiocres sans la moindre aptitude.
Il me semble qu’ils osent aussi entreprendre des difficiles rédactions des thèses de doctorat ! Et la rédaction des livres sur le peintre Gazmuri est nombreuse pour ne faire autre chose que de l’inclure à la chaîne des peintres chiliens quand Hernan Gazmuri n’a de peintre chilien que le fait d’être né au Chili !
La médiocrité n’a pas de limite et il est certain que personnes de cette mauvaise nature débordent de par le monde.
Si nous continuons à les mettre au nu avec ces mensonges, nous allons perdre notre temps précieux et mettons en péril la richesse de nos vies, cependant le sens de l’honneur, l’étique professionnelle, le sens de la justice sont les piliers sur lesquels mes parents ont crée toute leur action de pères artistes et d’éducateurs de leur réduite famille.
Je leur suis débitrice.
Je suis la fille et disciple du peintre Gazmuri et fille aimante de ma vieille mère qui a ses 94 ans ne peut se défendre par elle-même de cette infamie contre sa personne, je le fait en son nom et prend cette affaire entièrement à ma charge, la tache de dénoncer ce mensonge et de montrer le véritable visage qui possède maman, inondé dans un océan de sainteté et de sagesse.
Elle a commencé avec moi le rude labeur de dénonciation en justice pour la récupération de la vérité. En pleine faculté de ses moyens intellectuels, raison pour laquelle elle a exclu la partie qui a vendu les toiles.
Car elle pensa qu’il suffit comme châtiment la vue trouble de la conscience fautive, laquelle sera toujours allumée…
Je recommande bien vivement à ceux qui osent écrire des mensonges dans les journaux et les livres de cesser de divulguer des infamies publiquement.
Je ne vais pas leur laisser cette liberté.
Il est certain que le sens de l’honneur leur est étranger et qu’ils méconnaissent les rudiments les plus primaires de la décence humaine.
Et que dire de leur manque de savoir faire et de savoir vivre…
Mon père le peintre Hernán Gazmuri, qui repose en paix, remerciera de l’au delà cette publication de sa fille artiste peintre, je lui doit cette formation de peintre dont il avait l’orgueil de sa mission, je lui doit non seulement une éternelle reconnaissance, mais le devoir intarissable de la défense de sa mémoire.
Florence Gazmuri
Paris, le 16 juin 2009